La technique de l'éclairage consiste à mettre en oeuvre les différentes sources de lumière (naturelle et artificielle), selon des règles établies de manière à assurer de bonnes performances visuelles et une ambiance lumineuse agréable.
Pour réaliser un bon éclairage intérieur, il faut :
L'intensité et la composition de la lumière naturelle variant dans la journée, il pourrait être avantageux, du point de vue psychophysiologique, de disposer d'un éclairage électrique également variable, en faisant usage de gradateurs électroniques programmés lorsque l'on utilise des lampes à incandescence ou fluorescentes.
Pour assurer un bon éclairage extérieur, il faut essentiellement utiliser des lampes à haute efficacité lumineuse, mises en oeuvre de manière à créer de forts contrastes de luminance entre les obstacles et le sol (chaussée en particulier).
Pour les voies publiques, bien que la loi du 5 avril 1884 n'en fasse pas une obligation aux communes, l'éclairage des rues des agglomérations est indispensable à la commodité et à la sécurité des habitants. Les lampes les plus couramment utilisées pour l'éclairage public sont les lampes à vapeur de sodium, principalement à haute pression.
En rase campagne, les routes importantes sont éclairées soit sur toute leur longueur, soit en certains points particuliers (échangeurs d'autoroutes, carrefours).
L'éclairage des routes diminue dans une proportion voisine de 30% le nombre des accidents de nuit. On cherche généralement à obtenir un niveau moyen de luminance de 1 à 2 cd/m² et une uniformité telle que le rapport des luminances extrêmes ne dépasse pas 0,4.
Voici quelques livrets d'approfondissement technique (au format PDF).